Fabriques d’Église

FABRIQUES D'EGLISE

Réforme régionale du financement des cultes.

Lancée en septembre 2023 par le ministre Collignon, la réforme du financement des cultes n'aura finalement pas lieu sous la législature actuelle.

Rappelons que le ministre envisageait de plafonner l'intervention financière publique à 30 % et de supprimer un tiers des fabriques d'église. Notons au passage que selon des experts, la réforme envisagée risque de ne pas passer aupres de la Cour Européenne

Qu’est-ce une fabrique d’église?

Une fabrique d'église est l'établissement public chargé de gérer le temporel du culte dans une paroisse.

Un établissement public est une personne morale de droit public, instituée par une loi, disposant d'une certaine autonomie administrative et financière, et destinée à remplir une mission d'intérêt général, précisément définie.

Dans le cas des fabriques d'église, cette mission est la gestion du temporel du culte dans une paroisse. Une fabrique d'église n'a rien à voir avec une ASBL et conformément au droit civil (article 1 du décret impérial du 30 décembre 1809), les biens des paroisses civilement reconnues sont administrés par des fabriques d'église.

Chaque fabrique est administrée par un conseil et par un bureau des marguilliers. Le conseil est un organe délibérant, tandis que le bureau est un organe d'exécution.

Le conseil de fabrique

Le conseil comprend:

  • deux membres de droit: le curé et le bourgmestre
  • et cinq membres élus (ou neuf, si la paroisse compte plus de 5000 âmes)

Fabriques des églises de L'unité pastorale "Saint Joachim et Sainte Anne" de Bouillon:

BOUILLON
« Saint Pierre et Saint Paul »
Le curé, Ireneusz GOSK
Le vicaire, Santiago COUCHONNAL BEDOYA,

trésorier: M. Dachy ALAIN

NOIREFONTAINE
« Saint Côme et Damien »
Le curé, Ireneusz GOSK
Le vicaire, Santiago COUCHONNAL BEDOYA,

trésorier: M. Jules SCHNEIDER 

UCIMONT
« Saint Nicolas »
Le curé, Ireneusz GOSK
Le vicaire, Santiago COUCHONNAL BEDOYA,

trésorier: Sylvie PONCIN

ROCHEHAUT
« Saint Firmin »
Le curé, Ireneusz GOSK
Le vicaire, Abbé Frédéric,

trésorier: Christiane COPET

DOHAN
« Saint Florent »
Le curé, Ireneusz GOSK
Le vicaire, Santiago COUCHONNAL BEDOYA

SENSENRUTH
CURFOZ

« Saint Lambert et Saint Léger »
Le curé, Ireneusz GOSK
Le vicaire, Santiago COUCHONNAL BEDOYA,

trésorier: André MAHOUX

LES HAYONS
« Saint Quirin »
Le curé, Ireneusz GOSK
Le vicaire, Santiago COUCHONNAL BEDOYA,

trésorier: Claude NOLLEVAUX

CORBION
« Saint Jean-Baptiste»
Le curé, Ireneusz GOSK,
Vicaire, le père Henryk PAWLIK, trésorier: Henry BRIQUEMONT

POUPEHAN
« Saint Remacle »
Le curé, Ireneusz GOSK
Vicaire, le père Henryk PAWLIK, trésorier: GREGOIRE Jeannine

FRAHAN
« N-D- de l’Assomption »
Le curé, Ireneusz GOSK,
Le vicaire,

 trésorier: LEFER Gérard.

VIVY
« Saint Nicolas »
Le curé, Ireneusz GOSK
Le vicaire, Santiago COUCHONNAL BEDOYA

FABRIQUES D'EGLISE : C'est parti pour le GEFE.

Réunies le 15 septembre, les Fabriques d'église de notre Unité Pastorale

ont décidé de fonctionner en commissions au sein du GEFE (Groupe

d'Entraide des Fabrques d'Eglise) en vue de rationaliser le travail et de

se présenter devant les autorités de tutelle (Evêché et Commune) avec

un nombre réduit d'interlocuteurs.

Une première commission a été constituée lors de la réunion et traitera,

avec la Commune, des problèmes d'approvionnement de combustible

pour chauffer les bâtiments sous forme d'achats groupés ainsi que de

d'une vérification des différents contrats d'assurance (éviter de payer

MARIAGES

plusieurs primes pour un méme risque) et, ici aussi, passer par une

Se sont unis par les liens du Mariage

< centrale d'achats >.

D'autres commission (patrimoine, budget et comptes, travaux, rémunérations, [Paroisse Rochehaut

Alexandre VAN HEMELRIJCK

ou autres) seront mises sur pied lors de la (des) prochaine(s) réunion(s ).

 

 

L'AVENIR DE NOS CAISSES PAROISSIALES

Après avoir évoqué le mois dernier le devenir des Fabriques d'église, il nous faut maintenant vous entretenir aux sujet des Caisses Paroissiales qui, jusqu'à présent, étaient gérées la plupart du temps en associations de fait ce qui ne manquait pas de causer des problèmes en cas de disparition d'un membre de l'association (blocage de comptes bancaires, problèmes de succession et autres).

Le gouvernement belge a décidé de mettre un terme à ces associations de fait et imposera en 2024 une gestion via des ASBL dûment reconnues.

L'Evêché de Namur-Luxembourg demande que TOUTES les caisses paroissiales passent sous ce régime d'ASBL avant le 31 décembre 2023.

Au niveau de notre Unité Pastorale Ss Joachim et Anne, il est inconcevable de former une ASBL pour chaque caisse paroissiale et nous avons recherché une solution qui puisse satisfaire tout le monde tout en répondant aux critères légaux. Il est ainsi prévu de créer une seule ASBL au niveau de l'Unité en maintenant une totale indépendance de chaque caisse paroissiale.

Une seule banque (Fortis) rencontre les objectifs que nous recherchons, et il suffira aux gestionnaires de demander un numéro de client à la succursale qui leur sera indiquée (il n'est donc pas nécessaire d'ouvrir un compte chez Fortis).

Les gestionnaires des caisses paroissiales recevront des instructions détaillées dans le courant de ce mois d'août et une réunion sera organisée dans la première quinzaine de septembre pour entériner la création de la nouvelle ASBL et approuver ses statuts.

Pour que personne ne soit oublié, nous demandons à chaque paroisse de nous communiquer LE PLUS RAPIDEMENT POSSIBLE les coordonnées du ou des gestionnaire(s) de la (des) caisse(s) paroissiale(s) en contactant G.Lequy (0472 /886 415 - georges.lequy@outlook.be).

Les groupements ou associations liés à l'Unité Pastorale (Amis de Lourdes, Société Saint Eloi, mouvements de jeunesse, comités de séniors ou toute autre société où il est question d'argent) peuvent participer à cette nouvelle ASBL s'ils le désirent.

L'équipe pastorale


 

FABRIQUES D’ÉGLISE

Ensemble pour mieux gérer

Répondant à l'invitation de l'Administration Communale de Bouillon, les représentants de TOUTES les fabriques d'église de notre Unité Pastorale ont assisté le 8 juin dernier à la présentation du GEFE (Groupe d'Entraide de Fabriques d’Église) qui est destiné à venir en aide aux fabriques installées sur un même territoire communal.

Lors de son exposé, Patrick ADAM, Bourgmestre de Bouillon, a souligné les difficultés engendrées par l'adoption en 2014 du décret wallon par lequel les Communes doivent dorénavant exercer la tutelle des fabriques d'église (en lieu et place de la Province). Au niveau communal, cela entraîne un surcroît de travail non négligeable. Pour les fabriciens, le strict respect de la législation est devenu lui aussi une charge parfois difficile à assumer.

Et le Bourgmestre de rappeler que la part des fabriques d'église dans le budget communal s'élève approximativement à 200.000 € à l'extraordinaire et à 140.000 € à l'ordinaire.

L'abbé Juan-Carlos CONDE, Vicaire Épiscopal, après avoir rappelé la genèse des fabriques d'église, signale qu'il est grand temps de revoir le fonctionnement des fabriques pour obtenir un rendement maximum. Pour arriver à ce résultat, les fabriciens se doivent de respecter divers objectifs pour une meilleure gestion (compression des dépenses, revalorisation du patrimoine, ...)

Dans un premier temps, il est demandé que toutes les fabriques se dotent d'un Conseil de Fabrique répondant aux normes en vigueur, c'est à dire un conseil de 5 membres élus (qui se choisissent un président, un secrétaire et un trésorier) et de 2 membres de droit que sont le Bourgmestre et le Curé-responsable de l'Unité Pastorale (qui peuvent se faire représenter). A noter que ces deux membres de droit doivent obligatoirement être invités à chaque réunion du Conseil de Fabrique. Au niveau des coûts de fonctionnement, il est prévu de réaliser des achats groupés, notamment pour le combustible destiné aux édifices réservés au culte avec un possible partenariat avec la commune. Dans le même ordre d'idée, il serait souhaitable que toutes les fabriques adoptent un même système informatique pour l'encodage des données du budget et des comptes. Cela simplifierait grandement le travail du trésorier ainsi que le contrôle exercé par les tutelles (Commune et Évêché). Avec une belle unanimité, toutes les fabriques de notre Unité Pastorale se disent prêtes à collaborer avec le GEFE qui sera officialisé au cours du mois de septembre prochain.

Georges pour l'équipe

 
 
   
 

L’impact des prix de l’énergie

Diocèse de Namur

octobre 2022

L’impact des prix de l’énergie pour les communautés paroissiales

Nos évêques, par leur déclaration du 14 octobre dernier, attirent à juste titre notre attention sur toutes celles et tous ceux qui souffrent de la guerre en Ukraine et de la crise énergétique dans nos pays. Ils en appellent à notre solidarité et notre sens des responsabilités (voir autre article).

Beaucoup d’entre vous n’ont pas attendu cet appel pour prendre des mesures concrètes. Nous les remercions pour les bons soins qu’ils apportent aux biens qui leur sont confiés.
Nous sommes invités à développer aujourd’hui une série de mesures pour limiter les dépenses de chauffage et d’électricité dans nos bâtiments. Afin de soutenir les initiatives déjà nombreuses et d’inciter tous les gestionnaires à prendre des mesures concrètes, nous vous communiquons par la présente une série de points d’attention.
Les communautés paroissiales doivent être informées des impacts budgétaires liés à l’augmentation de prix des énergies. À cet effet, la Fabrique donnera une estimation des frais de chauffage par week-end, afin de favoriser une participation plus généreuse aux collectes dédicacées à la Fabrique d’église.
L’utilisation des chapelles de semaine plus facilement chauffables, la diminution des températures des espaces tout en maintenant un espace accueillant et priant, la sélection des églises moins énergivores pour la célébration des mariages et des enterrements, la généralisation d’ampoules LED, une gestion rationnelle des politiques d’éclairage, etc. sont des pistes que les responsables pastoraux et les gestionnaires favoriseront.
Une question toute particulière est celle du nombre des célébrations eucharistiques dominicales. Il est nécessaire de souligner, en tout premier lieu, que la décision de regrouper des célébrations eucharistiques revient exclusivement aux agents pastoraux. Évidemment, ceux-ci devront être attentifs aux avis d’autres intervenants (Fabrique d’église, communes…). Mais la décision d’un éventuel regroupement des célébrations eucharistiques est de leur seul ressort.
À ce sujet, Mgr Pierre Warin souhaite donner, pour le diocèse de Namur, un élément de discernement : là où les célébrations eucharistiques dominicales réunissent habituellement un nombre égal ou inférieur à 10 fidèles, il serait bon de rassembler ces fidèles tantôt dans une église, tantôt dans une autre, afin de constituer des assemblées plus nombreuses et diminuer l’utilisation d’énergie.
Nous rappelons également que la collaboration entre Fabriques d’église proches peut être une manière fort intelligente de diminuer les coûts en différents postes : secrétariat social, assurances, achats groupés… La collaboration entre Fabriques d’église et la constitution de GeFe (Groupement d’entraide de Fabriques d’église) là où ils n’existent pas encore est fortement souhaitable.
Pour l’avenir, la sensibilisation s’accentuera, tout en y intégrant les concepts d’écologie intégrale, de diminution de notre empreinte écologique dans l’esprit de Laudato Si’. Une réflexion de fond sera idéalement menée en concertation avec les pouvoirs publics locaux afin de prendre les mesures à long terme.
Les services Fabriques d’église et ASBL de votre diocèse sont à votre disposition pour vous accompagner dans ces changements.
Chanoine Joël Rochette, vicaire général
Abbé Juan Carlos Conde Cid, vicaire épiscopal pour le temporel du culte

Crise géo-politique et énergétique : la solidarité à l’épreuve

Déclaration des évêques de Belgique
La guerre en Ukraine sème mort et destruction ; elle répand la haine, la peur et l'incertitude. Nous appelons à travailler sans relâche et par tous les moyens, à l’ouverture d’un début de dialogue. Chaque jour où ne parlent que les armes est un jour perdu. Pas seulement en Ukraine, déjà si éprouvée, mais dans tous les conflits qui, en tant de lieux, déchirent les peuples. Parfois moins visibles, ils sont tout aussi dévastateurs. Jamais notre attention et notre solidarité ne peuvent être conditionnelles, temporaires ou uniquement locales. Chaque personne a droit à la paix et à la sécurité.
Les victimes de la guerre comptent sur la solidarité concrète de chacun d'entre nous. La réponse qu’offrent tant de personnes à cet appel, est porteuse d’espérance. Elles collectent des biens pour secourir, donnent du sang, accueillent des réfugiés, apportent chacune leur part. De nombreuses communautés religieuses prennent également des initiatives. Nous demandons à tous de poursuivre ce qu’ils ont entrepris et de contrer ainsi l'indifférence ou le découragement. Les personnes dans le besoin méritent toute notre attention.
La guerre à la frontière orientale de l'Europe met également en lumière notre dépendance à l'égard des sources d'énergie non renouvelables. Les fournitures de base comme l'électricité et le gaz sont devenus inabordables pour beaucoup. Les Gouvernements essayent par diverses mesures, d’atténuer le désastre. Soyons aussi parcimonieux que possible avec l’énergie à la maison, au travail et partout où nous nous réunissons. Nous demandons aux personnes en charge des biens de l'Église et aux fabriques d’église d’y porter une attention particulière. Un degré en moins fait déjà une grande différence.
Le passage à une énergie durable se fait également de plus en plus urgent. Nous appelons à unir nos forces pour cette transition fondamentale. En tant qu'Église locale, nous renforcerons les mesures déjà prises. Les services diocésains pour une écologie intégrale et d’autres instances, dans ou hors de l’Église, nous aideront par leurs conseils et leurs actions.
Les conséquences désastreuses de la guerre en Ukraine plongent le monde dans une crise importante. Notre option évangélique pour les plus démunis, doit nous rendre particulièrement vigilants. Les inégalités se creusent toujours davantage et les plus démunis sont confrontés à des difficultés croissantes. Restons proches d’eux tant par des actes de solidarité ponctuels que de manière structurelle. Nous demandons que le dialogue sur le bien-être général soit remis en tête de l'agenda de la société. Le bien commun ne peut être subordonné aux intérêts purement économiques.
La guerre en Ukraine et les crises qui s’en suivent, nous interpellent particulièrement. Plus que jamais, elles nous portent à réfléchir et nous rappellent nos responsabilités. L’humanisme intégral et solidaire, proposé par l'enseignement social de l'Église, se veut seul garant d’un avenir réel et durable.
La liturgie des derniers dimanches de l’année liturgique nous éclaire et nous encourage. Elle évoque les épreuves vécues dans le monde et elle nous incite à placer notre espérance dans le Christ. Lors de la Journée mondiale des pauvres (33e dimanche ordinaire, année C, 13 novembre 2022), nous entendrons un cri, toujours actuel, du prophète Malachie (Mal 3,20) : « Le Soleil de justice se lèvera : il apportera la guérison dans son rayonnement ». Confions nos vies au Seigneur Jésus, qui vient à nous et guérit l’humanité par son rayonnement.
Les évêques de Belgique
SIPI - Bruxelles, vendredi 14 octobre 2022

source: diocesedenamur.be

En Wallonie, valorisez le petit patrimoine sacré

Publié le 18 janvier 2022 par Angélique Tasiaux -

Le saviez-vous ? Le petit patrimoine populaire est protégé. Pour bénéficier d’une subvention (allant de 2500€ à 7500€), les éléments retenus doivent être accessibles au grand public, sans pour autant bénéficier d’un classement. Alors, rentrez vos demandes sans tarder !

En deuxième position du petit patrimoine populaire wallon (PPPW), l’Agence wallonne du Patrimoine (AWaP) répertorie le petit patrimoine sacré, au nombre desquels sont repris une dizaine d’éléments particuliers.

Parmi les éléments référencés, la liste mentionne :

  • les croix : expressions de la piété populaire matérialisée par une croix (en bois, en métal, en pierre, …).
  • les calvaires : croix dont l’iconographie commémore la passion du Christ. Le Christ en croix est ici accompagné de la Vierge, d’autres saints ou de symboles religieux.
  • les potales : niches creusées dans un mur et abritant la statue d’un saint, généralement fermées par une grille ou une vitre, et placées le plus souvent au-dessus d’une porte ou à l’angle d’un bâtiment. Par analogie, toute petite chapelle en bois fixée au mur dont elle se dégage, voire à un arbre.
  • les bornes-potales : les potales sont dites bornes-potales lorsqu’elles sont posées sur un piédestal. Il s’agit alors d’édicules en pierre ou en métal qui sont soit adossés à un mur, soit isolés sur le bord d’une route ou d’un chemin.
  • les reposoirs fixes : petites constructions élevées jadis au bord des routes pour le repos et la prière des voyageurs. Eléments bâtis (briques, moellons, …) destinés aujourd’hui à contenir statue et divers objets de culte.
  • les clochetons d’appel : petits clochers à usage fonctionnel pour l’alarme et l’appel.
  • les cloches (de la clochette au bourdon)
  • les carillons et les carillons mobiles
  • les orgues
  • les chars de procession

Infos

Formulaire de demande

source : scathobel.be/2022/01/en-wallonie-valorisez-le-petit-patrimoine-sacre/?utm_source=mailpoet&utm_medium=email&utm_campaign=lettre-d-informations-du-mardi-18012022_1474

A. T. 

Illustration (c) diocèse de Namur

Catégories : Actualité, Belgique, Fil info Tags : art religieux, patrimoine religieux

Deux outils indispensables

Restez vigilants : vols dans les églises

Diocèse de Namur via gmail.mcsv.net

Monsieur l’abbé,
Monsieur le diacre,
Madame, Monsieur,
Ce n’est pas la première fois que nous relayons des agissements d’individus qui se proposent pour restaurer l’orfèvrerie dans les églises. Attention, il peut s’agir de personnes mal intentionnées. La police met en garde.
Très régulièrement, des personnes d’origine française - mais pas seulement - se présentent dans les églises. Elles proposent de nettoyer l’orfèvrerie, principalement les pièces argentées. Ces « spécialistes » emportent l’argenterie pour procéder au nettoyage. Et lorsqu’ils rapportent les pièces non seulement la facture est plus élevée que le devis initial mais le travail a été mal réalisé. Des individus qui peuvent se montrer menaçants.
Si de tels individus se présentent dans la paroisse, il s’agit bien sûr de ne pas leur remettre d’objets mais aussi de ne pas leur montrer la pièce, le meuble… où les différentes pièces sont rangées. Le conseil de la Police : ne pas accepter l’offre et leur conseiller de passer leur chemin.
Il y a quelques jours, deux hommes se sont présentés au président de la fabrique d’église de Denée pour, cette fois, lui proposer de réaliser des travaux de dorure ou encore de cristallisation d’argenterie sur divers objets du culte. Le président de la fabrique n’étant pas en confiance, il a préféré mettre fin à la discussion.
Il a prévenu la police, un bon réflexe.
Bien cordialement,
Service communication du diocèse

Paroisse de Bouillon

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